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L’Amplitude d’un sourire d’être soi

 

Comment un atelier collectif de kinésiologie aide à lutter contre la sédentarité ?

Quand la kinésiologie lutte contre la sédentarité

La Kinésiologie se définit par la science du mouvement, elle aide ainsi à lutter contre la sédentarité.

Je vous propose régulièrement un atelier collectif de kinésiologie.

J’adore faire découvrir la kinésiologie, mon premier outil de thérapie intégrative, directement par de la pratique. En plus, aimer bouger, ça s’apprend et ça se partage et facilite des expériences enrichissantes.

Lors de la première édition du salon du MOI à Amancy, en Haute-Savoie, l’atelier « Pourquoi développer sa neuroplasticité grâce à la kinésiologie ? » a rencontré son public avec succès.

En renouant avec leur corps, les participants ont pu trouver leur propre équilibre. En effet, être bien dans sa tête et ses baskets avec ou sans talon est essentiel.

Pour ma part, faire prendre conscience qu’il soit possible de dénouer des situations complexes par des mouvements simples, adaptés pour tous est une victoire.

quand la kinésiologie lutte contre la sédentarité

D’ailleurs, les participants ont notamment appris que le mouvement :

  • crée une multitude de compétences,
  • révèle et développe les potentiels,
  • améliore les capacités cognitives,
  • développe différentes formes d’intelligence,
  • diminue le stress,
  • optimise les ressources d’apprentissage,
  • donne de l’appétence pour l’activité physique,
  • redonne de la motivation pour se remettre en mouvement

En un mot, la kinésiologie permet de maximiser ses chances de réussite par le mouvement, crée de nouveaux chemins neuronaux afin d’élargir ses choix de vie.

À mon sens, cet atelier fut une initiation à devenir agile et résilient.

Affiche de l'atelier collectif de kinésiologie

Prévention Santé : Un sacré pied de nez à la sédentarité

Dès le début de séance, certains participants n’imaginaient pas à quel point ils étaient rouillés. Pour eux, c’était l’occasion de reprendre du plaisir à bouger, de renouer avec leur corps et leur force vitale et ainsi lutter contre la sédentarité.

Depuis la pandémie de COVID-19, je constate qu’il y a davantage de participants sédentaires. Ce constat est également partagé dans un récent sondage où 30 % des Français déclarent d’être moins motivés qu’avant la crise.

Lutter contre la sédentarité

Inutile d’énumérer toutes les conséquences négatives de la sédentarité. D’autant plus que la pandémie de COVID-19 a montré l’importance cruciale de l’activité physique pour la santé mentale et physique.

Néanmoins, cet atelier a permis de se remettre en mouvement et certains d’entre eux, ont pris l’engagement de faire du Brain gym chez eux, en autonomie sur une période donnée.

Comme la pandémie a aggravé les vulnérabilités et les inégalités, il est plus important que jamais de veiller à ce que les personnes de tous âges et de toutes capacités puissent avoir accès au sport en toute sécurité.

Pour ma part, c’est gratifiant de voir que mon initiative pédagogique neurosensorielle offre un impact positif pour les gens.

De plus, cet atelier ouvre le débat sur la démocratie en santé. Ce concept typiquement français a pour principe de garantir l’implication des patients et des citoyens en matière de santé. Ecouter, considérer les vécus et les expériences des usagers de santé est à mon sens, crucial pour améliorer et restaurer de la confiance dans le système de soins.

Quelques définitions

« L’activité physique (AP) comprend les activités physiques de la vie quotidienne avec :

 

  • les déplacements actifs (marche, escaliers, vélo),
  • les activités domestiques (entretien domestique, bricolage, jardinage)
  • les activités professionnelles ou scolaires,
  • les exercices physiques (AP structurée, répétitive dont l’objectif est le maintien de la condition physique),
  • les activités sportives de loisirs ou en compétition.

La sédentarité est définie comme une situation d’éveil caractérisée par une
faible dépense énergétique.

Les activités sédentaires comprennent toutes les activités réalisées au repos en position assise ou allongée (regarder la télévision, lire, écrire, travailler sur un ordinateur, se déplacer en véhicule automobile) et la position debout statique.

En résumé, vous êtes sédentaires si vous restez plus de 7h assis par jour.

L’inactivité physique est un faible niveau d’activité physique passant sous le seuil recommandé de 150 minutes par semaine d’endurance d’intensité modérée. (source : Haute autorité de santé – HAS).

L’activité physique est bonne pour le cœur, le corps et l’esprit.

 

L’activité physique est à la fois une source de bien-être, de prévention santé et peut même être prescrite dans le traitement de plusieurs maladies et de troubles psychologiques.

Elle possède des effets bénéfiques sur Ia santé cardio-respiratoire, musculosquelettique, fonctionnelle et mentale.

L’activité physique est importante dans la lutte contre le surpoids et l’obésité.

Elle contribue à l’amélioration de la qualité de vie des personnes, quel que soit leur état de santé.

Elle favorise aussi l’intégration et l’interaction sociale qui sont également associées au bien-être et à la qualité de vie des individus.

De plus, l’activité physique permet de réduire l’incidence des maladies non  transmissibles (MNT) en agissant sur leurs facteurs de risque.

Ses effets  bénéfiques sont également bien démontrés dans la prise en charge de
plusieurs maladies chroniques.

A savoir que l’activité physique est considérée comme une thérapeutique
non médicamenteuse à part entière dans certaines maladies comme :

  • Accidents vasculaires cérébraux,
  • Asthme,
  • Bronchopneumopathie chronique obstructive,
  • Cancers,
  • Dépression,
  • Diabète de type 2,
  • Insuffisance cardiaque chronique,
  • Pathologies ostéo-articulaires,
  • Obésité,
  • Schizophrénie,
  • Syndromes coronaires aigus

L’activité physique est également bénéfique dans les maladies neurodégénératives qui engendrent des détériorations cognitives
importantes.

Elle présente aussi un intérêt pour traiter d’autres atteintes, tels que les
troubles de l’attention ou l’hyperactivité.

Le sport adapté chez les personnes en situation de handicap moteur comporte aussi des bénéfices comme le maintien, voire l’amélioration de certaines capacités fonctionnelles et une meilleure implication sociale.

Dis moi, pourquoi bouger c’est bon pour la santé ou comment lutter contre la sédentarité?

Saviez-vous qu’il serait possible d’éviter jusqu’à 5 millions de décès par an si la population mondiale était plus active ? La sédentarité est en effet, la première cause de mortalité évitable dans le monde.

La sédentarité tue ainsi, deux fois plus que l’obésité. Elle est responsable de 30% des maladies coronaires et de 20 à 25 % des cancers du sein, du colon, de l’utérus et du poumon.

Chaque fois que vous regardez la télévision pendant deux heures, vous augmentez les risques d’obésité de 23 % et de diabète de 14 %.

D’ailleurs, selon l’OMS, la pratique d’une activité physique régulière peut prévenir et aide à gérer les maladies cardiaques, le diabète de type 2 et le cancer, responsables de près des trois quarts des décès dans le monde.

L’Inserm indique également que la pratique physique modérée de 3 heures par semaine, ou d’une activité physique intense de 3 fois 20 minutes par semaine, diminue de 30 % le risque de mortalité prématuré.

Bien que l’activité physique possède des effets significatifs sur la santé globale, en Europe un adulte sur quatre et quatre adolescents sur cinq n’ont pas assez d’activité physique. 

En s’appuyant sur un récent rapport de ANSES de 2022 : « manque d’activité physique et excès de sédentarité : une priorité de santé publique », la situation en France est alarmante.

En effet, ANSES révèle que 95% de la population française serait à un « risque de détérioration de sa santé » en raison de son manque d’activité physique et d’un temps passé assis trop important.

Par exemple, un quadragénaire va rester assis 12h lorsqu’il travaille et 9h lorsqu’il est assis. (Chiffre de 2018 avant la crise sanitaire).

Pour conclure, bouger permet de rester en bonne santé durablement.

 

Dégradation de l’état physique général de la jeunesse

Lorsqu’on compare les résultats à certains tests physiques passés par les adolescents des années 1990 avec ceux passés par les adolescents d’aujourd’hui, on s’aperçoit que ces derniers ont perdu un quart de leur capacité pulmonaire en raison du développement de la sédentarité, alimenté notamment par les écrans.

Concrètement, les jeunes de 2022 mettraient 90 secondes de plus à courir 1 600 mètres qu’il y a trente ans. 

Avant la pandémie de Covid-19, parmi les 11-14 ans, seuls 14 % des filles et 25 % des garçons atteignaient les recommandations de 60 minutes d’activité physique d’intensité modérée par jour.

https://www.anses.fr/fr/content/inactivit%C3%A9-physique-et-s%C3%A9dentarit%C3%A9-chez-les-jeunes-l%E2%80%99anses-alerte-les-pouvoirs-publics

Bouger comme plan d’action de santé publique

Depuis le début des années 2000, l’activité physique est devenue une nouvelle catégorie d’action publique qui s’inscrit dans une stratégie nationale Sport-Santé.

Parallèlement, la loi de 2016 de modernisation du système de santé a officialisé une réorientation des services de santé par l’intégration de l’activité physique dans le parcours de soins.

La prescription d’une activité physique « adaptée à la pathologie, aux capacités physiques et au risque médical du patient en affection de longue durée (ALD) » a été introduite dans la loi de modernisation de notre système de santé. Elle a été ensuite étendue à tous les malades chroniques via la loi de démocratisation du sport.

Cette dynamique a récemment débouché sur la reconnaissance des compétences en activité physique adaptée dans le monde médical. Elle se caractérise par la création de deux métiers reconnus :

 

  • enseignant en activité physique adaptée (APA),
  • coordinateur en activité adaptée (APA).
femme pratiquant un sport adapté

Promouvoir la santé par l’activité physique

Promouvoir un large panel de pratiques d’activités physiques à visée de santé (lutter contre la sédentarité) avec le souci de motiver les citoyens à adhérer ont plusieurs objectifs.

  • Développer de nouvelles normes de vie active,
  • Développer des pratiques physiques ou sportives adaptées, régulières et durables,
  • Réguler des temps passifs passés devant un écran.

L’approche « être en bonne santé par le sport » a pour conséquence de révolutionner le monde sportif jusqu’alors organisé autour de la performance. C’est un profond changement de paradigme qui ne va pas de soi.

En plus, cette démarche éducative interroge sur les habitudes de vie, le rapport à son propre corps, à autrui, à l’environnement et finalement à sa santé.

Quel est votre rapport avec l’activité physique ou le sport ?

L’activité physique et le sport sont aussi une question de culture avec le rapport au corps. Elles s’appuient notamment sur des normes sociales incorporées dès l’enfance dans le cadre d’un processus d’imitation et d’éducation.

C’est alors que ces pratiques culturelles prennent sens pour les individus. Elles relèvent ainsi des manières d’être, de penser, de ressentir et d’agir avec son corps. Ainsi, ces pratiques prennent sens pour les individus.

L’activité physique est également une forme de langage qui n’est pas portée par les mots, mais par les mouvements du corps, ses postures, l’engagement physique envers le monde et autrui.

La maîtrise du corps et de sa technicité devient d’ailleurs un véritable enjeu de pouvoir dans la définition des statuts sociaux.

 

Quel profil êtes vous ?

Les personnes de profil hygiéniste sont celles qui considèrent l’activité physique comme étant avant tout un devoir de santé, n’en pratiquent souvent pas et s’en culpabilisent.

Elles se sentent en mauvaise santé, consomment des médicaments et vont régulièrement consulter leur médecin. Elles sont plutôt âgées et plus souvent des femmes.

Les personnes de profil hédoniste ont une pratique sportive régulière (sports collectifs, tennis, badminton, course à pied), n’évoquent pas la visée de santé mais plutôt le plaisir qu’elles en tirent. Elles sont plutôt jeunes et ce sont plus souvent des hommes.

Les personnes au profil volontariste pratiquent des activités à visée d’entretien de soi (gymnastique, relaxation, yoga), contrôlent leur hygiène de vie et ont des pratiques de santé préventive. Elles sont plutôt positionnées dans des catégories socialement favorisées (professions et catégories socio-professionnelles supérieures et haut niveau de diplôme).

Les personnes de profil fataliste sont celles pour lesquelles l’activité physique est totalement en dehors de leurs préoccupations, qui pensent que la santé est une affaire de chance et la maladie de malchance.

Elles consomment beaucoup de tabac, d’alcool et ne vont chez le médecin qu’en situation d’urgence. Elles s’attribuent globalement une mauvaise note de santé.

Leur niveau de diplôme est plutôt peu élevé et elles sont le plus souvent positionnées dans des milieux populaires.

Quels sont les freins à l’activité physique ou sportive ?

Dans l’enquête réalisée en 2020 auprès de 12 000 personnes, un quart de la population âgée de plus de 15 ans n’a pas ou peu d’activité physique ou sportive.

Voici les principaux freins évoqués :

  • Problème de santé (34 %)
  • Faire un métier physiquement dur (28 %)
  • Manque d’appétence pour le sport (25 %)
  • L’inadéquation de l’offre sportive considérée comme trop éloignée (13 %)
  • Ne connaître personne avec qui pratiquer (14 %)
  • Difficulté à supporter le regard des autres (9 %)
  • Difficulté d’être accepté par les autres (5 %)

La kinésiologie vous fait bouger et vous libère de vos pensées limitantes

Les participants aux ateliers collectifs de kinésiologie s’aperçoivent rapidement qu’ils sont trop dans leur tête et pas suffisamment dans leur corps. La majorité d’entre eux privilégient leur « cerveau » et délaissent le corps, avec l’idée que le mental a plus de valeur que le corps. 

Pourtant, la cognition incarnée, (études qui travaillent sur le rôle du corps sur la pensée) affirme que le corps doit d’abord interagir avec le monde pour ouvrir l’esprit.

D’ailleurs, habiter son corps et être connecté à ses perceptions permettent d’apprendre mieux et de réduire la charge mentale.

Bouger pour ne pas rester figé dans ses pensées limitantes est donc fondamental.

La Kinésiologie propose des mouvements pour identifier la source de ses motivations profondes.  Ainsi, être en mouvement, c’est trouver son centre, son point d’équilibre personnel.

 

Lutter contre la sédentarité stimule vos neurones

Dans cette conférence, le professeur Pierre-Marie Lledo, Directeur du département des neurosciences à l’institut Pasteur, nous fait des recommandations pour créer de nouveaux neurones. Evidement, bouger est un des leviers. 

 

Lutter contre la sédentarité c’est bon pour la santé et pour les bonnes notes à l’école

Lors de mon parcours de formation de Kinésiologie, j’ai été formé par Jean Phillipe Collet, professeur d’éducation physique et fondateur de la balle C+.

Cette méthode consiste à faire du faire du jonglage au sol pour faciliter des nouvelles connections neuronales.

En résumé, cette activité de gymnastique ludique permet :

  • d’intéger la motricité fine, capacité indispensable pour l’écriture,
  • d’intégrer le rythme,
  • développer la coordination,
  • améliorer les capacités visuelles indispensable pour la lecture et l’écriture,
  • améliorer la concentration,
  • développer la confiance en soi,
  • faciliter la coopération de diverses zones du cerveau,
  • faciliter l’intégration sensorielle.

Lorsque j’ai animé l’atelier collectif : « pourquoi développer sa neuroplasticité grâce à la Kinésiologie ? » au salon du MOI, j’ai échangé avec une ancienne professeure d’éducation physique.

Elle témoigne que le jonglage du cirque permettait à ses élèves d’obtenir de meilleur résultats scolaire.

Elle a aussi constaté que les élèves qui rencontraient des difficultés en sports avaient davantage de difficultés scolaires. 

 

Une mémoire corporelle qui donne confiance en soi

Cela faisait longtemps que je n’avais pas animé de groupe de plus de 10 personnes. C’est à ce moment-là que j’ai eu la bonne surprise de m’apercevoir que ma prise de parole en public était fluide.

En effet, j’ai réussi à parler de Moi, sans peur, ni crainte du rejet. Je fus agréablement surpris que mes tremblements dans mes jambes, mon envie de bouger dans tous les sens, les hésitations dans ma voix avaient disparu.

J’ai eu un sentiment profond de me sentir à ma place tout en prenant du plaisir à transmettre.

Cette expérience s’inscrit dans ma mémoire corporelle et alimente ma confiance à explorer de nouveaux chemins.

Atelier collectif de kinésiologie à Amancy

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